Philippe Ep 02 : Le Cadeau D'Anniversaire
PHILIPPE
EP 02 : LE CADEAU D'ANNIVERSAIRE
Le lendemain on me servait le petit déjeuner dans ma chambre. C'était mon dix septième anniversaire et ce n'était pas le meilleur vous pouvez me croire. Il avait bien commencé la veille au soir mais la suite était moins agréable. Je ne savais pas quoi faire. Mon père m'avait confisqué mon téléphone et avait aussi fermé mes accès Internet
Pfff
Je me suis fait chier toute la journée, il avait laissé la télé
C'est toujours mieux que rien !
Le midi, mon repas m'était également servi dans ma chambre. Ma mère était passé me voir
Elle était navrée, mais peut être plus de mon comportement que de celui de son mari
Elle me réconfortait tout de même !
Mère : Ne t'inquiète pas mon trésor, ton père est très en colère mais il va se calmer
Ça va lui passer
Si seulement toi tu pouvais faire un petit effort
Il a accepté que ton grand père te fasse ce cadeau ( la carte de crédit ) alors qu'il trouve qu'un tel crédit est totalement exagéré. Mais fait attention il peut encore te la confisquer, il y pense ! La seule chose qui le retient c'est la réaction de son père
Et en échange, toi
Tes résultats scolaire sont très moyens. Tu te disperses, tu traînes avec tes copains
Heureusement qu'il ne t'a pas vu quand tu es rentré saoul l'autre jours
Moi : Tu savais pour l'autre jour ?
Mère : Il n'y a que ton père qui ne le sait pas !
Moi : Hier soir le garde m'a frappé ! C'est pas normal ça !
Mère : Ne lui en veux pas trop mon fils
Il n'a pas dit à ton père que tu étais avec un homme !
J'y croyais pas ! Non seulement il ne lui avait pas dit mais il ne lui a jamais dit. Mon père croyais que j'étais avec une femme
Pour lui c'était déjà grave mais avec un homme ça l'aurait été encore plus ! Pour mon père la chasteté avant le mariage est une règle absolue qui ne supporte aucune exception ! Il savait que l'homosexualité ça existe
Il avait du en entendre parler dans des livres ou dans des rapports psychiatrique, je ne sais pas, c'est un sujet qu'il n'abordait jamais.
L'après midi avait commencé, j'étais allongé sur mon lit et je crois que je ne m'étais jamais autant ennuyé mais coup de chance j'avais de la visite. J'entendais du bruit dans le couloir !
Mon père : Mais écoute papa, il est puni je te dis. Tu saurais ce qu'il a fait !
Mon grand père : Et tu penses peut être que c'est en l'enfermant dans sa chambre ?
Père : Il faut bien marqué la chose, il ne travaille pas à l'école , il
Grand père : Toi tu était un modèle, je n'ai même jamais eu à te faire la moindre réprimande, sinon peut être que tu ne savais pas t'amuser mais il faut bien que tu comprennes que ton fils n'est pas comme toi !
Les voix s'éloignaient, je m'étais relevé et j'essayais d'écouter, j'avais retrouvé le sourire
Grand père était dans les murs ! J'étais sauvé !
Vous l'avez sans doute compris, j'adore mon grand père !
J'entendais la clé tourner dans la serrure. Mon grand père entrait. A ce moment j'avais un sourire radieux !
GP : Et bien mon bonhomme on me raconte de ces choses sur toi !
Moi : Grand père tu es venu me sauver !
GP : Ton père est très en colère, tu as fait fort tu sais ?
Moi : On n'a pas tous les jours dix sept ans.
GP : Tu sais que cette maison est interdite aux moins de dix huit ans ?
Moi : On ne faisait rien de mal
Gp : Vous vous envoyiez en l'air, c'est sûr tant que c'est que du sexe c'est pas bien grave mais j'ai comme l'impression que ton père n'est pas d'accord avec cette manière de voir les choses !
Moi : Il est vieux jeux ! Il était certainement pas comme ça quand il avait mon âge ?
GP : Détrompe toi, il n'a pas changé ! Je me suis souvent demandé ce que j'avais fait de mal
Bon habille toi, je te sors, si tu restes enfermé comme ça tu va finir par sentir le renfermé.
Il est génial mon grand père. Il ne me fallait que quelques minutes pour me retrouvé tout à fait présentable pour n'importe quelle situation. On descendait les escaliers.
Père : Papa je te signale que je l'avais puni !
GP : Et moi je lève la punition. Il aura tout le temps d'être puni quand il sera vieux.
Père : PAPA !
GP : ANTOINE ! Je te rappelle que je suis ton père, que je suis vieux et que je vais bientôt mourir ! Tu me refuserais de passer les derniers jours de ma vie avec mon petit fils.
Là il exagère mon papy, il est en pleine forme mais il sait que quand il dit ça mon père n'insiste jamais ! J'essayais de ne pas montrer ma joie et de garder la tête basse !
Père : Bon je laisse tomber je sais que je n'aurai pas le dernier mot avec toi papa mais Philippe je te confisque la carte de crédit. Le crédit que donne une Carte d'Or est trop important et tu n'es ni assez raisonnable ni assez mature !
Il était tellement furieux la veille qu'il n'avait même pas penser à la récupérer, je la lui donnais, mon grand père me confirmait d'un regard que c'est ce qu'il fallait faire. Pfff . J'étais sans le sous. Mais bon j'étais avec mon grand père
La Rolls nous attendait devant la maison, le chauffeur ouvrait la portière à mon grand père, je fonçais à l'autre côté et n'attendais pas qu'il me fasse le même coup, je montais tout de suite !
GP : Mon frère sera très heureux de te voir.
Moi : Tonton Luc ?
GP : Il y a aussi Tonton Bob, tu sais ils aimeraient te voir plus souvent !
Moi : Oui je sais, moi aussi mais papa n'aime pas trop les voir
Tu sais !
GP : Oui je ne sais pas ce que j'ai fait au ciel pour avoir un fils à moitié homophobe
Moi : Mais quand il est en leur présence
GP : Il s'écrase parce que ce sont ses aînés.
Moi : Tu es dur avec ton fils dis donc grand père !
GP : Il est vraiment trop sérieux, la vie c'est aussi la rigolade ! Il ne tient pas ça de sa mère !
Moi : Grand mère aimait bien rigoler elle aussi ?
GP : Ta grand mère, je peux te garantir qu'elle n'était pas homophobe elle ! Je te raconterai un jour.
Grand mère était décédée plusieurs années plus tôt à la suite d'une longue maladie, je ne l'avais que très peu connue. La voiture filait silencieuse et sans la moindre secousse, on pouvait croire qu'elle était à l'arrêt !
GP : Au fait ton oncle Luc vient d'acheter une nouvelle voiture
Moi : Et c'est quoi ?
GP : Devine
Moi : Non ! Encore ?
GP : Oui mais pas de la même couleur que la dernière
Moi : Ah tu me rassures ! Et tonton Bob il en dit quoi lui ?
GP : Bob, il y a bien longtemps qu'il ne dit plus rien à ce sujet, il supervise la construction d'un nouveau garage.
Moi : Ne me dis pas qu'ils ont réussi à remplir leur garage !
GP : Les bateaux, deux vedettes, un aéroglisseur, et deux avions
Ils n'ont presque plus de place pour les voitures maintenant !
Moi : Tu as raison, tu crois que je pourrai essayer l'aéroglisseur ?
GP : Tu demanderas à Bob. Au fait il vient de racheter la société Zepelin, je ne sais pas ce qu'il veut en faire
C'est chez eux que je t'emmène ! On va y passer deux semaines.
Moi : Papa est au courant ?
GP : S'il l'était il aurait dit non !
Je pouffais de rire
Il est comme ça mon papy. La voiture arrivait sur l'autoroute on accélérait !
GP : Au fait tu as dépensé combien hier soir ?
Moi : Bein ! Euh ! En fait j'en ai pas la moindre idée
GP : ( en esquissant un léger sourire ) Plus de trente mille DI
La tu exagères tout de même
Je n'osais pas lui répondre, mais ça semblait l'amuser cette histoire. Il est cool mon grand père !
GP : Au fait ton père a décidé de faire fermer la maison ou tu as été retrouvé hier soir !
Moi : Non ! Il ne va pas faire ça ! Il ne peut pas !
GP : Tu n'as que dis sept ans et tu sais que c'est interdit au moins de dix huit !
Moi : Merde c'est pas juste !
GP : Ne t'inquiète pas, je m'en occupe !
Quelques heures plus tard on roulait encore.
GP : Oui !
A part ça mon fils, ça va ?
Oui c'est exacte
Bien sûr
Luc à appelé ?
Mais si je t'avais prévenu, tu aurais dit non
Moi aussi je t'aime !
Moi : Il est en colère ?
GP :
C'est rien de le dire !
Il est cool mon grand père
Oui je sais je me répète mais il est vraiment cool ! On avait fait plus de quatre cent kilomètres quand la voiture passait le portail d'entrée. Une caméra nous identifiait, on passait, la voiture avançait dans l'allée principale. On traversait le premier rond point qui conduit à l'aéroport, ne vous inquiétez pas tout va bien c'est un aéroport privé on n'est pas dérangé. Le deuxième rond point conduisait à la maison à gauche et à l'embarcadère à droite
Bein oui il y a des bateaux
Il faut suivre un peu !
Devant la maison, deux employés en livret venaient nous accueillir, nous ouvrir les portières. C'est Alex qui m'ouvrait ma portière, il avait un grand sourire celui-là en me voyant. Je le connais depuis mon enfance et c'est toujours un plaisir de le revoir. Il doit avoir vingt ans de plus que moi et je me disais que, au final il devait être à peine plus vieux que l'homme que j'avais tenu dans mes bras la veille au soir
C'était la première fois que je le regardais comme on regarde un homme
Euh enfin
Je veux dire comme on regarde un homme quand on est gay
Sinon, ça ne marche pas ce je dis là
J'étais content comme un petit fou. Grand père ne m'avait pas dit qu'il m'emmenait chez Tonton Luc
C'est Tonton Bob qui accourait vers moi en premier. Mes deux tontons sont cool eux aussi
Finalement il n'y a que mon père dans la famille qui est pénible. Luc arrivait quelques instants plus tard. Je les embrassais tous les deux, ça faisait un moment que je ne les avais pas vu.
Ici le protocole est moins sévère qu'à la maison. On n'est pas obligé de mettre une cravate pour passer à table. Je n'avais pas emporté de bagage pour ne pas donner l'alerte à mon père mais je trouvais tout ce qu'il me fallait dans ma chambre
Il connaissent ma taille
Je trouvais aussi la dernière console de jeux électronique que tout le monde attend et qui ne sera commercialisée que dans trois mois
La fameuse
Euh finalement je ne vais pas vous donner la marque, mon père a un contrat commercial avec la marque concurrente, je ne vous dis pas les histoires que ça ferait
C'était un repas joyeux et décontracté, pas comme à la maison
Le repas à peine terminé je me retirais après avoir embrassé tout le monde. J'étais épuisé, la nuit précédent déjà avait été fatigante, le voyage et surtout
La nouvelle console de jeux m'attendait dans ma chambre
Eh éh éh ! Je les entendais rire quand je montais les escalier, mon grand père racontait ma soirée précédente, il savait déjà tout dans les moindres détails ! Mais comment il fait ça ? J'avais rien raconté à personne moi !
Il n'était pas tard quand on frappait à ma porte. C'était Alex, il avait un grand sourire, il m'amenait un verre de lait au chocolat. Il est vraiment adorable Alex, la première fois que je l'ai vu je n'avais pas plus de cinq ans, c'est lui qui s'occupait de moi quand je venais ici et le lait au chocolat me rappelait plein de bon souvenirs. Je le faisais entrer.
Alex : Tu as grandi tu sais depuis la première fois que je t'ai vu !
Moi : J'avais cinq ans mais je me souviens bien.
Alex : J'ai entendu ton grand père raconter ta soirée
Tu en as fait de belles
Ton père doit être furieux
Heureusement qu'il ne sait pas tout
Nous étions debout, l'un en face de l'autre. J'avais le verre de lait dans la main, je le posais sur la table du salon
Oui, petit détail
Dans ma chambre il y a un coin salon
Elle fait cinquante mètres carrés
Mon verre de lait donc était sur la table Alex était debout en face de moi, il me regardait avec un grand sourire, la porte de ma chambre était refermée. Mon père avait l'habitude d'entrer dans ma chambre sans prévenir mais je savais qu'ici ce ne serait pas le cas. Je regardais Alex dans les yeux et je lui souriais également.
Un mouvement de main, de sa tête, de ses lèvres, un regard, un reflet dans son regard
Je ne sais pas ce qui a déclenché la suite
Le fait est que je lui sautais dessus et le prenais dans mes bras. Il me rattrapait dans les siens et pour finir je ne sais pas lequel retenait l'autre mais aucun de nous deux ne voulait plus lâcher !
Je ne l'avais jamais regardé comme un homme, jeune c'était un grand copain un peu comme un grand frère. Il n'y avait jamais eu avant ce jour le moindre geste, le moindre regard ambigu. Je suis convaincu que si je ne lui avais pas sauté dessus il n'aurait jamais fait le premier pas. Ce soir là, il avait entendu mon grand père raconté ma soirée et il venait de découvrir mes préférences sexuelles. Ça ne lui déplaisait pas mais je suis sûr qu'il n'aurait jamais fait le premier pas !
J'avais donc bien fait !
Quand on voit un corps d'homme de loin, il bouge, mais ce n'est qu'une image mais quand on le tient bien serré contre soi on sent sa force, on sent qu'il est réel, qu'il est chaud, ferme, solide. Brusquement cette image prend une place énorme. Son corps, ses bras prenaient désormais toute la place qu'il y avait autour de moi, il remplissait ma chambre. Il n'y avait plus rien d'autre.
C'était pas comme la veille. Alex je le connaissais depuis mes cinq ans
Il avait été comme un grand frère mais désormais, en ce moment, je le voulais comme amant.
On s'embrassait avec passion. J'étais en tenue décontractée et il ne lui fallait pas longtemps pour me retirer mon T-shirt
Surtout que je ne résistais pas ! Pas plus qu'il ne résistait quand je lui enlevait sa livrée. Je l'avais déjà vu torse nue à la piscine ou à la plage
Je ne vous ai pas dit ? J'ai oublié ? Il y a une plage privée à l'extrémité de la propriété et c'est souvent lui qui m'y emmenait quand, plus jeune, je passais mes vacances ici
il y a aussi une piscine bien sûr ! ...
Je l'avait déjà vu torse nue, en maillot de bain. Il m'avait déjà touché pour me passer de la crème solaire. Ce n'était plus le même contacte. Il m'avait déjà tenu dans ses bras mais ça n'avait rien à voir avec ce soir ! Non vraiment rien !
Ses mains n'avaient jamais eu cette douceur, ses bras n'avaient jamais eu cette force, cette fermeté, cette puissance qui ne se manifestait que par une totale douceur, une infinie tendresse
Je m'abandonnais à cette étreinte, je m'abandonnais mais je continuais à y participer activement
Il se penchait vers moi ce qui m'obligeait à me pencher en arrière, avec autant de force que de douceur il me retenait et m'embrassait les épaules, le haut du torse
Brusquement il passait une main entre mes cuisse, c'était pas pour me peloter ( enfin pas que
), il me soulevait sans effort et me portait jusqu'à mon lit, il m'y jetait et je retombais en riant. Il se penchait sur moi et m'embrassait sur le tout le torse, en même temps il m'ouvrait mon pantalon, je le laissais faire
Un instant je me disais que c'était vraiment dommage, il avait la queue dans une cage comme tout le monde ici ( sauf moi )
Avant ses seize ans il est interdit de faire porter ce genre de truc à ses s. Vous allez dire que j'ai passé l'âge et si mon grand père n'était pas intervenu fermement mon père m'y aurait contraint il y a un an déjà
Je ne voulais pas porter ce genre de truc moi, j'aime trop me branler ou
Là oui c'était bien mieux qu'une branlette, ce que me faisait Alex c'était bien mieux
Il tirait mon pantalon tout en suçant ma queue. Le pantalon ne résistait pas beaucoup plus que le T-shirt, je me retrouvais nu devant mon ancien
Baby-sitter
Enfin un truc comme ça ouai !
Et il suçait bien. Je me disais donc que ce qui était vraiment dommage c'est que lui il portait un de ces trucs, un de ces dispositif de chasteté, c'est obligatoire pour travailler pour la PK Companie ou un de ses membres
Je ne pourrai pas le sucer, il ne pourras pas m'enculer. Je ne me suis jamais fait enculer et j'aurais aimer être initié avec quelqu'un qui me connaît bien, que je connais bien, j'aurais aimé que ce soit lui. Ce soir j'aurais aimé que ce soit lui. Dans ses bras je suis en confiance. Mais ce qu'il me faisait là était déjà génial. Il avalait ma queue avec une grande facilité, c'était pas la première fois qu'il faisait ça
Je lui caressais les cheveux, il poussait de légers petits grognements pour signifier que ça lui plaisait.
Au bout d'un long moment, il se redressait. Je décidais de me lancer, je l'attrapait par le pantalon, il ne résistait pas, je lui ouvrais son pantalon. Peut être que lui ne pourrait pas m'enculer mais moi je pourrais toujours
Son pantalon tombait sur ses pieds. Une belle grosse bite se relevait aussitôt, il ne portait pas de dispositif de chasteté en fait ! Je le regardais l'air visiblement surpris
Alex : Tout le monde n'en porte pas ici
Je lui prenais la queue entre les doigts et rapidement, avec avidité , il me laissait faire, je la prenais dans ma bouche, j'essayais de me souvenir des conseils qu'on m'avait donné. Surtout pas les dents, beaucoup de douceur. Je tentais de me rappeler comment il s'y prenait le pro de la veille. Là c'était pas les vingt trois centimètres de la veille mais c'était pas mal et pour ce qui est de me la prendre dans le cul ça serait plus facile
J'y croyais pas ! A la maison tout le monde porte une dispositif de chasteté. Je ne vous ai peut être pas dit mais mon père est le directeur de la société PK. C'est une entreprise énorme qui possède de très nombreuses filiales dans tous les domaines
Je vous en parlerai un autre jour. Là pour la première fois, un homme utilisait ma bouche pour se faire plaisir. J'avais déjà tripoté et un peu branler des copains mais là, c'était autre chose.
Cet homme était beau, il savait ce qu'il voulait, il savait ce qu'il faisait ! Ce n'était pas la première fois pour lui mais pour moi ce serait l'initiation. J'étais demandeur. Il me guidait avec ses mains, il y allait doucement il savait que j'étais novice. Il ne voulait pas me dégoutter. Il avançait le bassin par à-coups, si c'était trop fort, ça coinçait un peu, j'avais du mal à suivre il ralentissait ses mouvement. Je lui caressait les cuisses. Je lui caressais les fesses en insistant sur le petit trou, juste là, dans sa plus grosse et seule ride
Alex : Tu veux me prendre ?
Moi : Non ! Toi ! Prend moi !
Alex : C'est la première fois ?
Moi : Défonce moi le cul.
Le cul, mon cul, j'y ai plus d'une fois glissé un doigt et à chaque fois c'était bon. Personne n'y a encore touché, mais je sais que je peux faire confiance à Alex
Il me connais depuis que j'ai cinq et pour moi, je suis fils unique, il est comme mon grand frère
Enfin peut être pas tout à fait en ce moment, et peut être un peu moins dans l'avenir aussi
Mais bon
C'est la vie
Je faisais comme il me disait, en fait il ne disait rien mais me guidait avec les mains. D'une main il me tirait vers lui, je suivais et j'anticipais même le mouvement. Il me prenait par l'épaules pour me faire pivoter, je me retournais sans résistance. Rapidement je me retrouvais, les jambes bien écartée, penché en avant contre le dossier d'un fauteuil, je me retenais aux accoudoirs. Il me caressait les cuisses, les couilles et continuait à remonter sa main.
Il me caressait les fesses, doucement à pleine main puis un doigt se glissait entre, la ou se trouve le petit trou, au fond de ma seule ride
Une sensation de froid, juste sur mon anus. Un instant je m'étonnais, c'était seulement le gel. Et la je sentais un doigt se glisser rapidement dans mon cul, s'introduire comme je n'avais jamais osé le faire, comme je n'avais jamais osé me le faire
C'était bon, je bandais comme un fou, c'en était presque désagréable.
Il entrait son doigt, le ressortait avec vigueur. Je respirait fort, il n'avait commencé que depuis quelques instants et déjà c'était de la folie. La sensation devenait plus forte d'un coup. C'étaient deux doigts qu'il agitaient dans mon cul, il ne m'avait pas prévenu. Le laissais retomber mon torse contre le fauteuil et me retrouvais plié en deux, le cul bien offert.
C'était un autre doigt qu'il poussait dans mon cul
Ahhh
Il aurait pu prévenir le con
Ma prostate frétillait, je n'avais jamais rien ressenti de pareil
J'éjaculais
Alex ne s'en rendait pas compte, je bandais tellement que ma queue se relevait complètement contre mon ventre, le dossier du fauteuil se retrouvait couvert de sperme, rien ne retombait rien ne coulait entre mes cuisses et Alex continuait.
Je gémissais, je soufflais, je respirais fort, je tremblais et
Je le laissais continuer. Il n'avait peut être pas remarqué que j'avais éjaculé mais il savait que j'aimais, il savait que je jouissais. Je l'exprimais assez fort !
Il ne me touchais plus, je reprenais mon souffle
Une main se posait à plat sur une fesse, suivait une autre main. C'était pas de mes mains qu'il s'agissait mais bien de mes fesses par contre
Une pression sur mon anus ! Là c'était pas un doigt ! Une pression forte, puis très forte
Finalement suivait une sensation de déchirure. Brusquement je me relevais, il ne senfonçait plus, il me recevait dans ses bras, et me serrait fort. C'était bon, fort, doux mais j'avais mal au cul. Pas trop, je gémissais et tremblais mais le laissais faire. Je me redressais complètement contre lui et penchais la tête sur son épaule, il me masturbait, nos regards se croisaient, il s'enfonçait complètement en moi, nos regards ne se lâchaient pas. Je respirais fort, j'allais manqué d'air, je râlais, je gémissais, je pleurais. C'était à la fois une forte douleur et un intense plaisir, je ne contrôlais plus rien et j'éjaculais. C'est donc ça un orgasme. J'avais mal au cul mais je me sentais tellement bien !
Il se retirait et voulait revenir mais là c'était trop, je le retenais avec la main, il n'insistait pas
Je me laissais retomber sur le fauteuil avant de m'effondrer sur la moquette
Un peu plus tard, je me retournais vers lui, toujours allongé sur le sol
Moi : Vas y, masturbe toi. Je veux te voir jouir sur moi
Il s'exécutait. Je m'étais fait plaisir avec la bite, le cul et maintenant je régalais mes yeux. Finalement c'était tout ça mon vrai cadeau d'anniversaire.
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